chevaux, dont un que personne ne voulait car on ne pouvait le monter, tant il
avait été maltraité et en était traumatisé. Avec beaucoup d’amour et de patience, Anaïs a réussit à le dresser et aujourd’hui cheval et cavalière ne font plus qu’un couple uni à jamais.
Après avoir obtenu son Bac littéraire, fait une formation d’un an dans la photographie et travaillé dans l’hôtellerie, Anaïs est en train de trouver sa voie, tout d’abord elle a étudié la médecine tibétaine ainsi que la psychologie dans un monastère bouddhiste, elle effectue aujourd’hui une formation de zoothérapeute qui se terminera en juin 2021 avec, elle l’espère, un diplôme qui lui permettra de s’installer à son compte. Elle a déjà eu des contacts avec deux maisons de retraite de la région. Elle se spécialise également dans la maladie de Parkinson et dans les soins palliatifs.
De plus en plus on fait appel aux animaux pour soigner, calmer et donner un peu de bonheur et de
réconfort aux malades, enfants et adultes handicapés, les personnes atteintes d’Alzheimer, Parkinson et les personnes âgées et isolées. Il y a de quoi faire dans ce secteur !
Pendant sa formation Anaïs fera un stage en Savoie, dans un centre spécialisé, où elle travaillera avec tous les animaux qui vont lui servir dans sa profession : cochon d’Inde, lapins, chiens, poneys, chevaux, ânes, etc. Elle a déjà préparé une collègue de travail, c’est sa petite chienne Tara et elle compte en faire autant avec ses chevaux.
Depuis toute petite elle s’adonne à la peinture, qui était déjà la passion de ses parents. Si elle peint surtout des animaux ou des personnages, on peut la voir peindre dans la nature rustiquoise.
Les tableaux qu’on lui commande lui sont bien utiles pour financer ses études.
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| Nos meilleurs vœux de réussite à Anaïs |
Un tableau peint depuis les balcons de Canet
Merci beaucoup pour ce magnifique article Francis Mourlan !
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